Les vibrants théâtre
1914. Eugène, aussi beau qu'insolent, part pour le front comme engagé volontaire, persuadé que la guerre ne durera pas. Affecté à Verdun en 1916, il est blessé lors des combats par un éclat d'obus. Il y laisse la moitié de son visage. Eugène va vivre alors une irrépressible descente aux enfers: comment continuer à vivre lorsque le miroir nous donne à voir les restes de ce qui a été et ne sera plus ? Puis, petit à petit, au fil de nombreuses rencontres - de la toute nouvelle infirmière à l'exubérante Sarah Bernhardt au fougueux colonel Picot - Eugène va trouver le chemin de la rédemption dans les pas, ou plutôt le masque d'un certain Cyrano de Bergerac.