Francesca la maîtresse de Borgia
Octobre 1493. Quelques mois se sont écoulés depuis que Francesca a déjoué le complot du prêtre fou pour assassiner le pape, Rodrigo Borgia. La menace d’une guerre avec la France un est toujours aussi présente et Borgia tente comme il le peut de peaufiner son alliance avec Leurs Majestés très catholiques, Ferdinand et Isabelle d’Espagne. Pour ce faire il a envoyé son fils aîné Juan à la cour espagnole (où il va bientôt s’attirer des ennuis) et a accueilli en échange leur neveu Don Miguel de Herrera qui voue aussitôt une profonde antipathie pour Francesca s attirer des ennuis) et a accueilli en échange leur neveu, Don Miguel de Herrera, qui voue aussitôt une profonde antipathie pour Francesca, jaloux comme il est de sa relation passionnée avec César – pour qui il nourrit de tendres (mais inavouables) sentiments.
En cet automne pluvieux, le pape a décidé de se rendre à Viterbe, officiellement pour y inspecter des fortifications. Il emmène toute sa cour avec lui et Francesca constate de visu combien l’animosité a gagné la population vis-à-vis de son maître. À peine sont-ils arrivés et installés au château qu’elle apprend de son ami juif, David, qu’un assassin est en route pour Viterbe et projette de tuer Herrera pour déstabiliser Borgia.
Lorsque les cadavres commencent à s’amonceler (un commis de cuisine, une blanchisseuse, un page, etc.), Francesca sent la pression monter pour obtenir des résultats. Malheureusement, elle est devenue de plus en plus dépendante de la poudre de Sofia, pour dormir.
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